finir en douceur
Une semaine chargée, qui se termine, et me trouve encore co-allaitante
Euh... je dis quoi, là? parce que oui, Savero a tété hier, samedi, le 22, mais pas aujourd'hui!? Alors?
Alors je ne sais pas et ce n'est pas très important. Ce qui compte pour moi, c'est d'être là pour mes enfants, tachant de les aider à apprendre par eux-même, essayant de faire de mon mieux pour être un bon outil (bien solide ;-) ) entre les mains de leur développement, et au delà...
Je suis heureuse de co-allaiter ou d'avoir co-allaiter.
J'aime / ai aimé à en pleurer, à en rire aussi, jusqu'aux éclats, nos trois peaux ensemble réunies autour d'une tété (les "tétés des amours" dixit Savero).
J'aime / ai aimé être là, installée dans le lit ou sur le canapé, les bras pleins de toute cette vie, de toute cette chaleur, de toutes ces vies, de toutes ces chaleurs....
J'ai aimé voir le lien entre mes enfants se construire un petit peu tous les jours, depuis le "Toujours" d'Aprile.
J'ai aimé les sentir, lui lové contre mon ventre, elle (que l'on devinait délicatement, un jour après l'autre, un mouvement, une réponse après l'autre) blottie dedans...
J'ai aimé les voir s'observer "par dessus bord" et s'apprivoiser en buvant à la même coupe, une rasade de lait et une autre d'amour.
Cet amour qui circule si facilement de moi à eux quand je leur offre une place au creux de mon sein... Je suis certaine qu'il circule aussi entre eux dans ces moments-là...
Aujourd'hui, je réalise que l'allaitement n'est pas le seul support de ces rapports, quand l'amour se met en branle autour de nous jusqu'à ce que le bonheur cascade en éclat de sourires...
Quand je mets Aprile dans mon dos, le temps d'une activité commune, d'un travail à la maison, je vois, j'entends Savero expliquer à sa soeur. Il lui raconte les carottes si difficiles à éplucher, le "truc" pour ouvrir les épingles à linge sans se pincer les doigts, et mille autre choses! Il lui explique, il lui raconte, inlassablement, il lui offre des trésors, les siens et donc les leurs...
Et moi, j'en
Euh... je dis quoi, là? parce que oui, Savero a tété hier, samedi, le 22, mais pas aujourd'hui!? Alors?
Alors je ne sais pas et ce n'est pas très important. Ce qui compte pour moi, c'est d'être là pour mes enfants, tachant de les aider à apprendre par eux-même, essayant de faire de mon mieux pour être un bon outil (bien solide ;-) ) entre les mains de leur développement, et au delà...
Je suis heureuse de co-allaiter ou d'avoir co-allaiter.
J'aime / ai aimé à en pleurer, à en rire aussi, jusqu'aux éclats, nos trois peaux ensemble réunies autour d'une tété (les "tétés des amours" dixit Savero).
J'aime / ai aimé être là, installée dans le lit ou sur le canapé, les bras pleins de toute cette vie, de toute cette chaleur, de toutes ces vies, de toutes ces chaleurs....
J'ai aimé voir le lien entre mes enfants se construire un petit peu tous les jours, depuis le "Toujours" d'Aprile.
J'ai aimé les sentir, lui lové contre mon ventre, elle (que l'on devinait délicatement, un jour après l'autre, un mouvement, une réponse après l'autre) blottie dedans...
J'ai aimé les voir s'observer "par dessus bord" et s'apprivoiser en buvant à la même coupe, une rasade de lait et une autre d'amour.
Cet amour qui circule si facilement de moi à eux quand je leur offre une place au creux de mon sein... Je suis certaine qu'il circule aussi entre eux dans ces moments-là...
Aujourd'hui, je réalise que l'allaitement n'est pas le seul support de ces rapports, quand l'amour se met en branle autour de nous jusqu'à ce que le bonheur cascade en éclat de sourires...
Quand je mets Aprile dans mon dos, le temps d'une activité commune, d'un travail à la maison, je vois, j'entends Savero expliquer à sa soeur. Il lui raconte les carottes si difficiles à éplucher, le "truc" pour ouvrir les épingles à linge sans se pincer les doigts, et mille autre choses! Il lui explique, il lui raconte, inlassablement, il lui offre des trésors, les siens et donc les leurs...
Et moi, j'en
tombe des nues!
("l'amour tombe des nues!")
("l'amour tombe des nues!")